Misou, où l'art d'un homme qui n'avait que la vie pour vivre.

Bonjour. Je suis Misou, et ce soir, je vais vous raconter mon histoire. Celle d’un enfant des plus démunis, pour arriver au froid personnage que je suis.

Chapitre premier, ou l'art de la destruction.

Cela a commencé à Bonta, j’étais un enfant de famille riche et importante, mon père s’appelait Shreor. Il était le conseiller du roi, de part sa grande richesse pour approvisionner les troupes, mais aussi grâce à ses stratèges sans précédents. Tous les bateaux Brakmâriens coulaient dès qu’ils passaient la ligne d’horizon. Aucun ne pouvait toucher Bonta, ni même son port. Il y avait eu un seul mort, suite à une pluie de glace très bien calculée par les stratèges ennemis. Le bouclier de Féca était très intéressant pour nos amis du Bien. La ville pouvait donc vivre en paix, même en cas d’attaque –où tout le monde montait sur les remparts de la ville pour voir le bateau se faire couler. Quand à moi, j’étais destiné, selon mon père, à défendre Bonta au cas où Brakmâr trouverais la faille du Bouclier Féca étendu sur la ville. Ce même bouclier créé par Féca lui-même ! Mais, en son zénith, se trouvais un point fragile, invisible à l’œil vu d’en bas, un trou menait à la ville. Et puis, un jour de pluie, le ciel était couvert. J’avais 12 ans quand Brakmâr détruisit ma ville.

L’armée complète de Brakmâr, venue en montgolfières, était passée invisible. Elle s’est posée sur le bouclier de cristal, et a créée une attaque destructrice. Tous les Fécas et les Iop déplacaient un canon gigantesque, pointé vers le palais. Les Srams, eux, déjà en bas, avaient assasinés les gardes des tours et empêché la communication. Les Crâs, eux, étaient disposé en rond en bas de la ville pour empêcher quiconque de fuir. Les Pandawas… ont pleuré en versant tout l’alcool dans la ville et propager le feu destructeur. Les éniripsas, eux, n’avaient aucune utilité, tout comme les sacrieurs. Mais un point clef du jeu était les Xélors. Disposés autour de la ville, dans la ville comme sur la ville, ils firent ralentir le temps pour empêcher les troupes ennemies de se déployer.

Un véritable carnage. Le canon Féca tira et détruisit le palais, les Srams avaient tué tous le reste des troupes. Les Crâ et les xélors empêchaient la population de bouger, avant que cette dernière brûle, et tout ça dans un temps record. La ville était détruite, le roi était mort, la vie était anéantie dans la ville. Mais Misou, s’entraînait toujours dans la cave avec son maître d’armes lors de l’événement, il fut sauvé.. Deux jours plus tard, après l’assaut destructeur que fit Brakmâr, Misou était fou : les gardes avaient arrêté Shreor et il fut exécuté, pour la cause qu’il avait envoyé à Brakmâr un plan. Misou, fou de rage, acheta un bateau et parti de Bonta, pour aller à Amakna.

[HRP : Il s'agit d'une pré-histoire, on va dire, un commencement avant l'histoire, car là, ça nous raconte l'envie de se battre selon Misou et le début des évènements qui vont le conduire à devenir un espèce de "fou". J'ai fait exprès de ne mettre aucun dialogue et bien sur, Misou penchera vers le sentiment de destruction peu de temps après, avec un but précis.

Edit : Je souhaite préciser que c'est aussi ma première histoire RP :p]