La lignée de Sylve
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[Histoire] Le karma de Vlegon

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Message  Trai-Shor 17th Octobre 2009, 13:34

[Histoire] Le karma de Vlegon Lekarmadevlegon

Chapitre 1: La caravane rose...



Il y assez longtemps, j'avais eu rendez-vous avec un de mes arrières cousin du septième degré du coté de la belle sœur du beau frère du père de la tante de mon demi-frère... Je ne l'avais jamais vu auparavant et cela m'intriguai... C'est en un jour joyeux avec un grand ciel bleu et des pious qui chantaient que l'histoire commença...
J'étais dans une forêt dont le nom m'a échappé, un petit havre de paix juste à coté d'une montagne où j'avais mis un drapeau avec mon frère quand j'étais jeune, je l'avais baptisé le mont «Trai-Shor» en l'honneur d'un grand personnage... Enfin bref... J'ai aperçu une petite caravane s'étant stoppée pour approvisionner les bouftou. La caravane, faute d'être atypique par sa forme, l'était par une couleur rose pouvant attirer les brigand à des kilomètres à la ronde... Mais ce qui m'a le plus intrigué, c'est l'exaltant parfum qui s'émanait de cette dernière... Comme attiré par une sorte de bonheur invisible, j'ai commencé à marché vers l'intrigante structure. Les arbres faisaient une ombre suffisante pour que ma tête soit soulagée d'un arasant soleil qui tapait fort en ce jour. Un petit ruisseau coulait au loin, me donnant alors l'impression d'une torpeur éveillée, d'un semi-sommeille... Pendant que dans ma tête, les mots s'entremêlaient comme si un sort m'était jeté, j'avançais gaiment et sans me soucier vraiment de mon entourage.
Peu après, je fut près de la caravane qui semblait bien plus impressionnante. L'odeur venait de l'intérieur de cette dernière et les bouftous ne semblaient pas faire attention à moi. J'ai tenté de regarder par la fenêtre mais elle était teinte... Drôle de coutume... Je me suis alors décidé à frapper à la porte pour voir ce qu'il y avait. Ceci ce fit et, un court moment après, une personne imposante ouvrit la fine planche de bois. Cette personne semblait ne pas trop m'apprécier et devait préférer la tranquillité... Je pris alors la parole:

-« Salutations, étranger aux terres d'Astrub,
Quel est donc cette étrange coutume d'être ainsi teint?
Le rose, voyez vous, ça ne fait pas de pub,
Et depuis quand, reçoit on d' un air éteins

Que venez vous faire dans cette magnifique forêt,
Avec vos bouftou, caravane et vos épées,
Quelle est là cette bonne odeur qui ici m'attire?
A qui ai-je l'honneur de parler en ce moment? »

-« Oulah, petit être, tu semblerais bien pressé,
Tes mots s'égarent et tes questions ne se suivent,
Tes propos sont décousus, tes phrases mal menées,
Je te trouve impolis avec tes paroles vives!

Si à la lame qui tu as vus ici même,
Tu ne veux pas être exposé trop violemment,
Je te propose de partir très vite en courant,
Ou je chanterais bien trop tôt ton requiem! »

Je sentais bien les pulsions meurtrières de la brute qui était devants moi tel un mur. Il prit son épée et commença à faire comme s'il l'affuter pour m'intimider... Mais je ne voulais pas partir, je ne sais pas pourquoi... C'est comme si j'étais envoûté par cette odeur étrange qui faisait en mon cœur une harmonie. La personne s'approcha à nouveau de moi, mais cette fois, agitant son épée dans les air comme s'il en avait jamais touché une de sa vie. Son brassage d'air ne dura pas très longtemps... En effet, une voie atténuée et vielle se fit soudain entendre. Ses paroles n'étaient pas très compréhensibles, mais j'arrivais tout de même à cerner certains mots... Il parlait une sorte de jargon des voleurs de la ville d'Astrub... J'avais l'habitude de l'entendre, mais cette fois, le ton était si sec et mal articulé que je ne pouvais pas vraiment savoir de quoi il en retourné... J'ai juste entendus parler vaguement d'étranger, de petite taille, d'épée, de fourreau ainsi que d'un trou de petites araknes... Je ne voyais pas trop le rapport jusque là entre ces choses... Puis, le colosse mis son épée de coté en la lançant par tête violemment comme s'il était déçu par le fait qu'il ne puisse me tuer. Il me fit alors un grand signe comme si je devais entrer dans la maison, un de ces signes suspects dont on se doute... Cette fois ci, je me suis vraiment demandé si je devais entrer et voir la source de l'odeur ou plutôt m'abstenir et décamper à toute vitesse pendant que je le pouvais encore. Le voie atténuée reprit alors d'un ton plus vif mais tout aussi incompréhensible... Je compris tout de même qu'il s'agissait d'alchimie ainsi que d'une plante dont le nom m'a échappé... Le géant, me voyant hésitant pris le soin de rajouter quelques mots:

-« Adepte d'Enutrof, entrez dans cette demeure,
Cette ligne limitrophe, n'a pas à vous faire peur!
Maître Vlegon vous attend, n'hésitez donc pas!
Et concernant votre sang, ça ne sera cette fois...

Mon épée est à terre, je suis loin de mon fer,
Ne partez en arrière, venez prendre de notre air,
Ne faites points de manières, ce serait un enfer,
Ne prenez pas cet air, vous savez bien que faire! »

-« Mon amis, je suis pressé, je suis attendu,
Par mon arrière cousin que je n'ai jamais vu...
Je vais partir avant la sombre et triste nuit,
Afin de ne pas devoir dormir dans un puits...

Et puis, voyez vous, je ne veux pas déranger,
Maître Vlegon semble, de sa voie, exténué,
Je n'ai rien dis de vôtre bien chaleureux accueil,
Et je ne passerais pas ce dangereux seuil... »

-« Dans ce cas, petit être, tu ne partiras pas!
Tu verras que ce hêtre, sera ta pierre tombale!
Je te laisse le temps court de faire quelques vifs pas,
Après quoi, ce poing lourd, te seras vite fatal! »

A peine que ces parole furent dites que mes jambes commençaient à partir dans un élan rapide. Je n'avais pas encore saisi tout ce qu'il avait dit que j'avais déjà parcourus dix à vingt mètre... Je ne pouvais m'arrêter, un peu comme si j'avais Iop à mes trousses qui tentait de me traquer... Quand enfin je pu comprendre ce qu'il avait dis, une peur commença à m'envahir, un traque d'une traque se fit sentir... Mes sens commençaient à se refaire sentir mais de manière dense et exténuante. La mélodie olfactive m'avait engourdis et mes jambes ne pouvaient allait aussi rapidement que je le souhaité... A peine je me dis que j'étais sauvé que je vu l'immense être devant moi, comme s'il était apparus. Je ne pris pas longtemps à tourner d'un pas vif et élégant, cela ne suffit pas... Je revu l'ennemi que j'avais éloigné devant moi à nouveau... J'étais comme cerné... Je ne pouvais pensé à un sort d'illusion par manque de recule mais je ne pouvais pas dire que cette personne était réelle à cause de défauts tel que le vent passant à travers... En effet, une légère brise passait par là. Quelques dizaines de minutes plus tard, je commençais à fatiguer... J'avais fuit par un petit chemin qui semblait passer en boucle devant la demeure rose... Je ne comprenais plus rien, je n'avais qu'une envie, me réveiller du terrible cauchemar dans lequel je m'étais enfouis et me dire que ce n'était rien qu'un rêve idiot que j'avais fait à force de ne manger que de la viande... Mais l'effort que je fournissais été bien réel ainsi que ma peur... Je sentais mon cœur devenir de plus en plus lent, ma vision se troubler, mes sens se confondre, ma peau se liquéfier et mon cerveau ne voulait rien régler... Mes jambes semblaient suivre le rythme de mon cœur, ralentissant alors brusquement et progressivement à la fois, tel un paradoxe. Entre mon envie de survivre et mon corps stoppant toutes actions, je me trouvais las d'une vaine course... L'immense être arrivait, regardant alors sa victoire... Contemplant le corps las d'un ennemi trop faible pour continuer de lutter. Il me regardait avec un sourire narquois comme s'il savait que la bataille allait être aussi simple... Je sentais la légèreté de la brise et l'odeur des arbres... Les couleurs faseillaient comme dans une scène de mort d'un héros... La scène était au complet pour que je trouve la mort. Le géant prit son épée et la pointa vers ma tête... Il parla avec des mots qui résonnaient dans ma tête comme si on taper avec un gourdin sur mon crâne. Je n'en comprenais rien et mon corps ne pouvait réagir... Je me sentais mal, très mal... Le colosse semblait rire avec ses mots. Quand il arriva à tenter de me frapper, je ne vis pas mon amis le bébé phorreur.. .Ce fut bien la première fois... La lame heurta ma pelle comme si le glas sonné... Lors du second assaut, la lame se stoppa juste à la nuque et ne transperça pas un bout de ma chair... Comme si le mouvement titanesque s'arrêtait. Je ne pus bouger et mes yeux se sont lourdement fermés...

Une séries de rêves plus étranges les uns que les autre se succédèrent dans un sommeil agité, je ne pouvais réfléchir et je m'imaginais dans une boîte à lancer mes kamas sur des forgerons en armure de fer sombre ainsi que des mineurs Entrofs à la peau noir tel le jais. Bref... Un rêve d'une étrangeté flagrante, d'autant plus que je portais une sorte de reste de dragodinde emplumée sur ma tête...

Bref, plus tard, je me suis réveillé dans la caravane rose... Bien que n'en ayant vu seulement une infime partie, je pouvais reconnaître ce lieu original... Au début de mon réveil, j'entendais des sons étranges qui tapaient contre la paroi de mon crâne, puis, grâce à une potion bleauâtre qu'on me fit boire sans même que je puisse réagir, je me sentis de mieux en mieux jusqu'à une heure après 'avoir bue ou je comprenais un peu près les paroles. Une vielle personne tentais de me parler... Sa voie morne et effrayante recréa une notion de peur en mon âme... La personne semblait âgée et était dépourvue de dents et de cheveux. Sa peau tannée par les années et rigides tel le cuir de bouftou laisser apparaître des plaies guerrières ainsi que les rides de l'âge. Le personne parlé mal, trop mal pour que, dans mon état, je puisse la comprendre. Voyant mon désarroi et mon incompréhension, le colosse trouva bon de me dire d'écouter.

-« Pourrais tu au moins écouter ce qu'il dit là?!
Manques tu donc de respect, vil et immonde rat?
Mon maître ne voulait pas que tu meurs maint'nant...
Remercie le de suite, au moins en l'écoutant...

Si tu ne comprends rien, saches, piètre créature,
Qu'il a perdu un puissant anneau près d'ici,
Dans une fourmilière, endroit que trop impure,
Et que grâce à une potion, il va te rendre petit!

C'est un grand honneur de servir maître Vlegon,
Tu as donc beaucoup chance d'aller chercher l'anneau!
J'aurais pus le faire, mais ne veux laisser ma peau.
Mais en attendant, toi, tu n'es qu'un pauvre pion! »

-« Juste ciel, tout mon sang dans mes veines se glace!
Ô crime, ô désespoir, ô déplorable race!
Voyage infortuné, rivage malheureux!
Fallait il s'approcher de tes bords dangereux? » M'exclamais-je alors!

Vlegon me regarda un instant et repris...

-« Mon mal vient de plus loin, à peine à cet anneau,
Sous les lois du wakfu, j'avais prêté serment,
Je sentais en moi, mon bonheur et mon repos,
Mais Grimbash fut pour moi, un horrible des serpent!

Il prit mon anneau et le cacha rapid'ment,
Comme si ce cruel diable voulait détruire mon sang!
Sans l'anneau ,je pers sans attendre tout mes pouvoirs,
Me retrouvant enfermé dans une tour d'ivoire!

J'aurais bien voulus t'épargnai de cette mission,
Mais de la vie, je n'ai guère plus de notion...
Comme si l'être infâme m'avait à présent tout pris,
Par pitié, trouve cet anneau, j'y mettrais le prix! »

J'étais sidéré, en plus, ils voulaient me payer pour une chose qu'ils m'obligeaient à faire... Je ne voulais pas même y être mêlé et ils me traitaient comme un mercenaire de bonne foi qu'ils avaient engagé dans le plus grand des volontariat... Dans cette sale salle sale salée de saletés, allié par un serment sans sens, mes sens sensibles semblaient sermonner cette sadique méthode! Aussitôt, l'être rigidifié par l'âge prit une sorte de potion rose et la mis à bouillir, me disant alors que cela prendrait seulement une à deux minutes... C'est le temps qu'il me restait pour fuir... Malheureusement, d'affreuses chaines semblaient ne pas vouloir que cela se passe ainsi... J'étais pris au piège... Je n'avais plus que la parole pour tenter de sauver ma pauvre peau qui ne semblait pas valoir plus qu'un pitoyable anneau qui paraissait sans valeur aucune malgré ce qu'avait dit le vieillard. Je voulais alors lui exprimer mon désarroi malgré la figure sadique et méchante de la personne qui m'avait vaincu... Plus je la regardais, plus je pensais que c'était un adepte de Iop non entrainé à l'épée (ce qui me semblait paradoxal). Bref... Pour parler j'ai utiliser quelques mots maladroits et confus...

-« Vous m'envoyez périr? Des pleutres, vous êtes les pires!
Pourquoi don vous servir, je peux bien déguerpir!
Et je n'ai pas en mir ma mort, mon pauvre sir!
Vous voulez me finir, vous me laissez donc rire!

Et alors pourquoi ne pas faire votre travail,
A vôtre disciple sans courage et sans honneur?
Me prenez vous pour du pitoyable bétail?
Sachez, monseigneur, qu'au moins, moi, je n'ai pas peur!

Tant qu'à votre sagesse du à vôtre vieil âge,
Elle semble bien détruite par une douteuse rage!
Pourquoi donc ne pas faire appel à un grand mage,
Plutôt que d'envoyer un adepte bien plus sage?

Raisonnez donc, seigneur, ne laissez la rancœur,
Animez vos action, sans crainte ni sans heurt,
Il n'est pas venue l'heure de faire régner l'horreur!
Quand à toi, pauvre con, il n'est temps que je meurs! »

Le colosse semblait me regardait d'un air encore plus noir qu'avant après l'insulte que je lui avais faites... Il semblait même avoir des pulsions meurtrières à l'instant même où j'avais dis mes mots. En revanche, Vlegon semblait, pour sa part, réfléchir à une chose autrement plus importante, comme si mes mots allaient le faire changer d'avis pour que je puisse aller rendre visite à mon cousin pendant que j'étais encore en vie... Il commença à exprimer des choses dans le même jargon que j'avais entendu au début...

Mais qu'ai-je entendu? Vous le serez dans le prochain épisode!


Dernière édition par Trai-Shorr le 18th Octobre 2009, 16:39, édité 4 fois
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[Histoire] Le karma de Vlegon Empty Re: [Histoire] Le karma de Vlegon

Message  Trai-Shor 18th Octobre 2009, 16:09

Chapitre deux: La potion rose.


Vlegon semblait, d'une voie hésitant, parler sérieusement à son disciple qui, pour sa part, restait là, bouche bée comme si un terrible sort allait lui être jeté. Plus le monologue avancé et plus j'étais perdu, moi qui croyais avoir compris au début, je ne me retrouver plus deux phrases après... A vrai dire, mon état ne me permettait pas bien plus que de faire semblant d'écouter... Je relevais tout de même quelques mots par ci par là... Au bout d'un certain temps que je n'avais pus estimé, le présumé adepte de Iop se tournant brusquement vers moi, me foudroyant du regard comme si j'étais son pire ennemi... Comme si tout son malheur venait de moi. Vlegon, pour sa part, prit une pipe et alla s'assoir sur un petit fauteuil, fumant alors des herbes rouges émanant une sorte de fumée rosâtre. Après m'avoir fixé comme une bête en cage, le colosse trouva enfin les mots pour me parler:

-«Toi, qui apporte malheur! Oui, toi, vile créature!
Tu détruis là ma gloire et tu me fauches la vie!
Je voudrais que tu meurs, dissous en Wakfu pur!
Car, avec toi, ce soir, j'irais voir les fourmis!

Ne me regarde ainsi, je ne m'avoue vaincu!
Je ne serais allié, d'un si piètre barbu!
Tu mourras d'mon épée, infâme pourriture!
Si je pers la vie, je maudirais ton armure!

Pour que par un Shushu, tu te rappelles de moi,
Pour que tu deviennes fou, montrant ton désarroi!
Ceci dit, n'ai pas d'espoir, je ne mourrai pas!
Et ce n'est dans la moire, que viendra ton trépas!»

Je répliquais alors:

-«Oulah, mon pauvre fou! Te voilà avec moi!
Si aux sort du Wakfu, mourir tu ne veux pas,
Je te conseille, petit, de faire une grande trêve...
Nous ne sommes pas sortis, de cet atroce rêve!

Faire équipe est logique, si on veut dev'nir épique!
Pour la fin pathétique, il faut être apathique...
Donc ta pensée tragique, doit se rendre fluidique!»

-«Sale adepte d'Enutrof! Je te pendrais ta langue?
Avant de faire un pas, pour ne pas être exsangue,
Tente au moins de bien parler aux vrais adeptes,
Même si tu ne peux point apprendre ce concept!»

Plus j'écoutais cette créature et plus il m'embêtait... J'avais envie de lui mettre un bon coups de pelle dans le dos afin de l'achever de son agonie verbale. Enfin bref... J'avais au moins appris que je devais aller avec lui dans la fourmilière... Vlegon avait parlé d'une potion pour me rendre petit et cela me donnait mal au cœur... Comment allais-je faire pour reprendre ma taille initiale après coup? C'est vrai, parce que j'étais déjà petit à la base... De plus, vue la taille de mon compagnons, je me demander de combien de fois cela pouvait il nous rendre plus petit si cela pouvait faire que deux mètre devienne à peine deux centimètres. Pendant que le gamin à la taille colossal faisait virevolté des phrases d'insultes à coté de moi, je tentais de réfléchir à un plan qui pourrait me faire sortir de ce pénible pétrin...
Ce fut au bout d'une minute que Vlegon se leva maladroitement et de façon plutôt épuissante pour prendre la potion rose qui était en train de chauffer. Je n'avais vraiment pas envie de la boire et lui fit par de ma répulsion pour l'alchimie forcée par un geste de la tête. Le colosse prit alors les avant et tenta de m'ouvrir la bout en très grand pour que le fluide entre devant. Vlegon parla encore son jargon étrange et l'adepte de Iop (parce que, maintenant, j'étais sur que s'en était un grâce à son badge que j'avais pus identifier pendant qu'il allait chercher le pied de biche), prit encore son air de chien battu et pris la potion à la main... Après l'avoir contemplée pendant une longue minute à écouter la parole de Vlegon, il but tout d'une traite comme une vulgaire boisson...
Soudain, une immense et putride buée rose apparue! Comme si Eniripsa maudissait cette alchimie, le rose opaque commença à occuper toute la place d'une façon anarchique et désordonnée... Le voile de ténèbres rose piquait les yeux et irritait la peau..
Heureusement, peu après, il disparue tout aussi vite qu'il était apparue, comme si une magie avait frappé les lieux... Je commençais à avoir peur... D'autant plus que l'adepte de Iop avait disparue... Plus tard, je le vis enfin... Une minuscule montagne de muscle criait par terre... Quel spectacle ridicule... Je ne voulais vraiment pas finir ainsi... Vlegon amena la potion vers ma bouche... Je refusais de la boire... Même si on devait me tuer pour! Mais il se trouve que l'être était bien plus malin que je le pensais et trouva dans sa besace un futile flacon vert qu'il déversa aussitôt sur ma main...
Un mal atroce me fut fait, à un tel point que je ne pus m'empêcher de hurler des jurons à cause de la douleur! Il profita de se court temps pour m'administrer la potion... En effet, le mal ne durant qu'une seconde, le temps de mettre le liquide dans ma bouche, je devais, après coups, boire ma salive afin de recommencer à crier... Quel stratège ce Vlegon, hein?
La même scène se produit une seconde fois, sauf que cette fois, je cru que j'allais mourir asphyxier par la buée qui était encore plus néfaste à celui qui était petit... L'adepte de Iop avança alors vers moi pour m'exclamer ses sentiments:

-«Bien alors, bon à rien, on fait plus le malin?
Te savant opportun, tu te doutais de rien?
Dommage que ce soit la fin, mais au moins tu ris moins!
Je prend les choses en main et ne créais pas de liens!

Nous partons à présent! Mais, je te fait présent,
De te laisser le temps, car en ce mauvais temps,
il est trop important, d'avancer en portant,
Assez d'équipement, et plein d'armement!»

-«Au lieu de parler, ne devrions avancer,
Je n'ai à m'équiper, et suis alors fin prêt!
En ce qui te concerne, je vois bien que tu peine,
Avec tes grandes cernes et que tu t'armes à peine.

Quand à ta grande lame, bien liée à ton âme,
Mais quelle vision infâme, venant droit d'incarnam,
Se nommant cauchemar, que de la voir si grande,
Et être le cafard, voulant porter les landes!»

Et s'était encore une fois reparti... Voulant toujours avoir le dernier, mot, il me bombarda d'insultes sans sens comme si je lui avait volé ses kamas... Au bout d'un certain temps, un grondement effrayant venait de derrière nous, je chercher d'où cet horrible son pouvait provenir... Vlegon semblait parler... Notre petite taille faisait comme un si titan était assis sur un immense trône en cuir de bouftou teint en rose! Cette scène magistral me fit être encore plus répulsif des potions administrées de force... L'adepte Iop, contrairement à moi, semblait comprendre les parole... Il me pris le bras et m'entraine hors de la caravane... Du moi, jusqu'au seuil de la porte où d'immenses marche se dressaient devant nous... Voyant l'effort à fournir pour descendre, j'étais encore plus épuisé qu'avant (rien qu'à y penser, pour vous dire). L'adepte de Iop récita un petit requiem, me pris par le bras et fit un saut spectaculaire vers l'autre marche... La chute ne lui a pas fait d'effet, ni à moi, son wakfu semblait brûler à une vitesse faramineuse quand il fit les deux ou trois autres sauts afin de partir de cette caravane... Enfin en bas, il semblait exténué... J'aurais pus le tuer d'un simple coups de pelle, mais j'avais besoin de lui pour pouvoir trouver l'anneau... J'avais aussi réfléchis à «pourquoi je devais trouver cet anneau» et en été arrivé à la conclusion que c'était pour pouvoir demander à reprendre ma forme initiale.. en effet, pour pouvoir la reprendre, je devait au moins connaître la formule, ce que je ne savais pas ou demander à celui qui m'avait miniaturisés de trouver l'antidote...
La chose la plus étrange était que je ne sentais plus l'odeur enivrante comme si je m'y étais habitué pendant que Vlegon et son disciple parlaient... Je pris alors la tête pour traverser les hautes herbes qui étaient là comme un barrage... Du moins, les basses herbes sur lesquelles j'avais marché insouciant de la taille qu'elles avaient. J'avais remarqué la fourmilière en arrivant mais n'y avait guère prêté attention jusqu'au moment où ils en avaient parlé... Je ne savais donc pas trop où elle se plaçait exactement mais savait un peu près où elle était... J'aperçus, à un moment, une arakne et je ne pus m'empêcher d'être pétrifier par l'horreur de la bête... En effet, mesurant près de 10 mètres de haut, elle... Pardon, mesurant près de dix fois ma taille, elle était terrifiante! Jamais je n'avais imaginé qu'une arakne puisse être si grosse et si... horrible! Elle n'avait pas fait attention aux proies faciles que nous étions et heureusement pour nos vies... Je n'avais pas envie de finir dans le ventre d'un de ces créatures que je m'amusais, il y a peu, à écraser sans m'en soucier réellement...

Évitant les menaces alors que l'adepte de Iop me criait dessus que j'étais un lâche à ne pas vouloir me battre, nous avancions dans les herbes lentement... Plus cela aller et plus je me demander pourquoi nous n'avions pas bu la potion juste devant la fourmilière, cela nous aurait évité au moins cinq à six heures de marches à pied... Cela nous en aurait pris beaucoup moins si nous ne zigzaguions pas pour éviter les menaces et que nous n'avions pas à couper d'épaisses herbes pour continuer notre chemin... Soudain... Nous vîmes devant nous un immense fossés d'où sortaient de terrifiantes bêtes à six pattes ressemblant à des fourmis... La peur me reprit, comme pour toutes les bêtes que nous avions croisés... Je n'avais pas envie d'entrer dans cette sorte de fosse sacrificielle où j'allais laisser mon corps et mon âme... Je voulus fuir... Tout simplement... Malheureusement, l'adepte de Iop me rattrapa et me mis en avant, il commença alors à me parler:

-«Bien alors, on a peur? Veux tu fuir au destin?
Nous arrivons au but! Voici là le repère!
Maint'nant, il faut qu'on lutte! Qu'on entre dans la terre!
Que nous vaut ta terreur? Ne sers tu donc à rien?

Prends garde à nos arrière, je t'en laisse le soin.
Regarde donc derrière, pour ne te prendre mon point.
Il faut trouver une arme, pour que je puisse me battre,
Ce n'est pas une simple larme, qui va bien les abattre.

Donnes moi donc ta belle pelle, pour que je puisse combattre.
Répond à mon appelle, on ne va pas débattre!
Fait donc vite et bien, tout ce que je demande!
Je ne suis pas un saint, avec qui on quémande!»

De toutes façons, je n'avais pas le choix, j'étais dans ma même poisse que lui... Je ne pouvais rein faire d'autre que de lui léguer mon arme qui s'était miniaturisée pour une raison que m'était tout aussi inconnus que la manière dont se sont dérouler les choses pour que je me retrouve ainsi devant une horrible tanière dont l'appellation seule aurait fait peur à un Abraknyde... Je pris ma seconde pelle (celle-ci pliante), ce qui surpris l'adepte de Iop au plus au point qui ne voyait pas l'intérêt d'en avoir deux... Après des explication vaines pour lui expliquer que pou courir plus vite, on lâche son arme et donc qu'après, il en fallait bien une autre, nous décidions d'avancer vers le trou béant se trouvant devant nous.
Nous ne fîmes pas beaucoup de pas quand...
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[Histoire] Le karma de Vlegon Empty Re: [Histoire] Le karma de Vlegon

Message  Trai-Shor 27th Octobre 2009, 16:09

Chapitre dernier: La vision rose


Alors qu'on était en train de discuter sur le même sujet qu'avant en avançant, une ombre immense se fut percevoir derrière nos dos... Je sentis alors mon cœur battre à une vitesse super-sonique comme si tout d'un coups, une impulsion de Wakfu venait me le transpercer.. Je n'eus même pas le courage de me retourner pour voir ce que cette ombre glaciale venait faire sur nos tête. Un présage apocalyptique plané tout autours de nos vies sur le point de chavirer vers l'Incarnam. L'adepte de Iop prit ma pelle avec maladresse et, d'un éclair me foudroyant, se retourna avant de commencer une course acharnée. Je ne pus m'empêcher de rester pétrifié un moment à entendre son chant en hommage à Iop qui raisonnait dans ma tête avec un ton tout aussi douloureux que le son de la voie de Vlegon quand j'étais dans un semi-coma. J'avais perdu mes mots, j'avais perdu mes réflexes, l'immense ombre semblait s'être arrêtée et je tentais, sans même m'en convaincre ni y réfléchir, comme par instinct de survie, de trouver les mouvements de l'horrible créature grâce à la pénombre qu'elle engendrée. Soudain, l'ombre commençait à s'agiter, comme un flot ravagé par la tempête. Les mouvement étaient presque aléatoire mais prévisibles, comme si la créature engagée un combat d'égal à égal. Je vus aussi se déplacer par tâche de noirceur une petit source d'espoir faire des bonds autours et au dessus de la bête. Je pris alors le courage de me retourner pour affronter l'ennemi.
Je vus une horreur... Je ne pus reconnaître une fourmi directement, pour moi, c'était des petites bêtes inoffensives et sans valeur... Celle-ci était terrifiante... Monstrueuse, même... Je voyais alors le Iop se battre en chantant, comme s'il y prenait plaisir, comme si son destin était lié à la mort de la créature qu'il affrontait... Je ne pouvais comprendre ceci... Je n'ai connus le sentiment qu'il avait pu éprouver face à cette chose que deux mois plus tard lors de mon première essais au Glolfle... J'étais plus épaté par le Iop que terrifier que par la créature à ce moment, bien que le résultat était le même, je ne pouvais pas bouger.
Je regardais alors le fier disciple de Iop qui, il y a peu, ne pouvait même plus se déplacer correctement, combattre avec agilité et intelligence. Il utilisait une sorte de pouvoir peu commun créant des illusions de lui qui pouvaient toucher l'ennemi... Je cru voir Sram à l'action, la rapidité et la force déployée était digne de lui.
Il n'arrivait pourtant pas à faire de dégâts significatifs à nôtre ennemi... Je tentais alors de repousser ma peur, puis, une minute plus tard, voyant qu'il avait besoin de mon aide (parce qu'il commençait à me cirer dessus au lieu de chanter), je pris ma pelle et appela mon bébé phorreur... Qui ne vînt pas... Évidement, je lui avait dit de resté près de l'arbre quand j'ai commencé à être attiré par le parfum... Oups, j'avais omis de vous le dire. Je pris alors ma maigre bourse pour effectuer une attaque de front afin de faire hommage à Enutrof. La pelle du Iop provoquait des crissements graves quand elle touchée la peau de l'adversaire. Quand j'ai lancé mes deux premiers kamas pour tenter de faire diversion, nous nous retrouvâmes l'un à coté de l'autre.
Après un petit échange de regard, l'adepte de Iop invoqua deux illusions de lui pour attaquer par trois front, je compris alors que je me devais de faire l'élément tactique. Il fonça contre la bête avec sa pelle et excécuta un bond phénoménale vers son œil. La créature aurait du réagir, mais soudain, comme si Enutrof m'avait donné la force, elle fut prise d'une maladresse immense comme si elle avait vieillie du cinquante ans. Le Iop arriva à son œil globuleux qui se referma quasiment instantanément. L'attaque portée n'avait pas servie à rien car, dans son ombre, était survenaient le vrai adepte de Iop et son illusion afin de le frapper dans une des articulations. La créature, ralentie par mon sort éphémère ne pu alors réagir à temps. Elle arriva tout de même, après son assaut, à frapper mon allier de plein fouer, le faisant tomber au sol comme un vulgaire insecte. Elle alla alors pour l'écraser avec l'autre patte mais une illusion l'attaqua, elle du alors réagir. Ce que le Iop n'avait pas prévus, c'est que les insectes sont capables de faire plusieurs actions à la fois dû à leur système neuronal étant placé par ganglions nerveux... Je fis tournoyer ma pelle dans les air pour dévier la gargantuesque patte. Elle ne fit que retarder l'attaque mais le disciple de Iop profita du maigre temps pour faire une roulade et lancer une terrible attaque de feu sur l'ennemi commun. Sa carapace, bien que résistante, ne pus encaisser toutes l'attaque. La bête devînt alors furieuse... Du moins, c'est le sentiment qui se rapprocher le plus du sien, car les fourmis semblaient penser autrement et réagir tout aussi autrement. Bref, je n'avais pas le temps de penser à cela car l'insecte trouva un moyen de m'attaquer voyant que j'étais dangereux. Je pris alors mon courage à deux mains et commença à courir le plus rapidement possible vers une direction aléatoire en poussant de grands cris de détresse. L'adepte de Iop, toujours présent, m'envoya ma pelle dépliable et profita de ma feinte pour avoir une attaque d'opportunité là où il le souhaitait. Malheureusement pour lui ,je n'étais point un génie et ne pus donc lui exaucer son vœux le plus cher qui était de pourfendre la créature En effet, il s'était approché de sa cible afin d'envoyer les courroux de Iop quand un mite de la fourmi l'attaqua pour une raison que nous ne connaissions point. Il se prit à nouveau une attaque de plein fouet, mais celle ci sembla bien plus terrible. Je ne pris pas le soin de m'arrêter pour regarder mais un détail m'intriguait... Un point de la fourmi n'était pas de la même couleur, comme si le Wakfu lui avait transpercé la carapace... J'y suis! C'est là où le disciple de Vlegon avait concentré sa terrible attaque du nom de «colère de Iop»! J'avais enfin trouvé un point faible... Maintenant, je n'avais plus qu'à l'exploiter. Pendant que je pensais en courant, l'adepte de Iop glissa. Je pris le soin de lancer à nouveau ma pelle pour tenter d'accrocher un vêtement de nôtre compagnon à une herbe. Malheureusement, je ne fut qu'aggraver la situation en le touchant dans la jambe. Bref, je semblais perdu contre un ennemi trop puissant mais j'avais plus d'un tour dans ma havre-sac! Ce n'est pas pour rien qu'Enutrof m'a accepté comme adepte! Je lançais une sorte de symbole sur le havre-sac du Iop, qui, par la bénédiction d'Enutrof (sans doute) le toucha et fusionna avec. Je pus alors utiliser un de mes subterfuges! Je pris alors mon havre-sac quand la fourmi alla me frapper pour incanter rapidement son pouvoir! Quand je fut dedans, je n'avais que peu de temps avant que la foudre ne s'abatte sur moi... Heureusement que j'avais l'habitude de faire cela pour fuir les créanciers. J'utilisais un parchemin remplit de rune en un éclair. Ce dernier brûla. Puis, comme si rien n'était arrivé auparavant, je pus sortir de mon havre-sac en récitant le rituel à l'envers! Je pus sortir de celui de l'adepte de Iop mais vu le mien en miette. La fourmi ne se doutait de rien mais je pus reprendre ma pelle et assaillir en lançant sept précieux kamas guidés par wakfu afin que l'assaut se fasse dans plusieurs sens. La fourmis dévia le plus important et laissa les autres percuter sa résistante carapace comme si elle était doté d'une futile intelligence.
Elle prit un certain temps pour se retourner, le temps pour moi de prendre quelques distance. Elle arriva vers le corps du Iop qui semblait se réveillé du coups précédant avec difficulté. La fourmi détecta aussitôt le mouvement prête à le tuer... Je n'avais plus de tours dans mon sac pour le sauvé, je ne pouvais rien faire. Et comme si les courroux divins s'abattaient sur le personnage, une immense patte l'écrasa et le brouilla jusqu'à ce qui ne reste plus rien... La fourmi était écrasée par mon bébé phorreur qui me semblait bien plus grand à présent... Il m'avait sans doute senti, cette bête à un flair assez puissant même pour détecter des objets sur un bouftou putride... Je contemplais alors avec splendeur l'immense créature qui, malgré l'inversion des tailles n'avait perdu sa loyauté envers moi. Je le remercier alors d'un hochement de tête et osa supposer à l'adepte de Iop qui ne fallait peut-être pas se battre. Je ne sais pas s'il m'a compris, en tous cas, il fit un geste comme s'il voulait me tuer... Je ne comprendrais vraiment jamais les coutumes étranges de ce dieu. Voilà ce que je lui dis:

« Bah alors, mon petit, te voilà dégarni!
Je n'pensais qu'une fourmi, ne puisse te battre ainsi!
Tu semblais aguerri et te voilà occis!
Tu as eu un soucis, comme si j'avais rien dit!

Maintenant, écoute moi, pourquoi fait des fracas?
On peut éviter ça, sinon tu périra.
Ces phrases n'oublies pas, outre quoi, tu mourra.
Il faut fuir le combat, et faire profil bas!

Entrons chez l'ennemi, sans nous faire trouver!
Trouvons l'anneau ainsi en faisant attention.
Faisons nous tout petit et sans faire aucuns sons
Entrons dans l'antre impie, et ne soyons des mets!»

Je me demandais alors ce que me valait se regard noir qui, sortant d'yeux rayonnants comme l'améthyste, émanait en moi des mauvaises ondes. Je ne pris pas plus grandes curiosités pour son regard qui me semblait normal pour pour une personne qui venait de se faire sauvé par une autre alors qu'elle pensait avoir un code et un sens de l'honneur assez grand ainsi qu'un art du combat assez haut pour pouvoir s'affronter à une créature. Offrant un peu de baume de soin ,j'ai attendu que l'adepte de Iop se lève.
Quand enfin il pus se lever, il répliqua:

-«Toi donc qui est si fin! Guide moi, sale chien!
Tu te crois plus malin, tu penses que me destin,
Est trop lié à la faim, des bêtes et des païens?
Tu crois que ma fin, serait fatal en ce point?

Laisse moi rire tocard! Que mon teint blafard,
Et qui donne le cafard, soit la preuve des arts,
qui je vais déployer, pour bien te prouver,
Qu'un vrai chevalier, à un honneur parfait!

Puisses tu mourir vite, puisses tu n'être là,
Puisses tu par ces bêtes mites, trouver le trépas,
Tu seras au fond de toi, que ma force est bien grande,
Et que dans les landes, elle sera une légende!

Entends tu ces phrases, pauvre insecte idiot?
Penses tu qu'en cette phase, tu peux voir sous ma peau?
Crois tu donc me connaître, en un unique combat?
Des grands combats s'apprêtent et tu le sais, vieux rat!»

-« Oulah, mon avorton, change donc un peu de ton!
S'il y avait dragons, belles confrontations,
Tu ne serais au fond, qu'un si fort peloton,
Bien que tu t'battes à fond, te briserais le fion! (Désolé pour la grossièreté.)

Laisses moi te guider, t'ouvrir un peu les yeux,
Sur un monde de danger, que même les plus pieux,
N'ont pas pu affronter, même un tout petit peu!»

Mes paroles ne lui avaient pas fermé son clapet, en effet, il commença à m'insulter avec ses dernières force à un tel point que ses cris firent fuir mon bébé phorreur! Cette tête brûlée se ré ouvra une plaie presque effacée pour pouvoir me blâmer au niveau de mon courage que, pour ma part, je ne trouvais pas loyal mais d'une logique irréprochable.
Bref... Il était retombé à terre et nous dûmes encore attendre un petit bout de temps avant de nous mettre en route vers notre mission... J'avais hâte de finir et de raconter tout cela à ma famille! Une histoire comme celle-ci, ce n'est pas souvent qu'on la vie... Je comptais aussi insister beaucoup sur les points où j'avais une utilité et laisser la peur de coté.... Dire plutôt que je pensais à un plan... Enfin bref!

Au bout de ce temps qui me paraissait long, voir tourner à reculons, il se leva vaillamment nous nous avancions vers la fin de cette histoire. Nous sommes alors entré dans les galeries souterraines creusées avec une précaution telle que nous pouvions croire qu'elle fut taillée par des grands sculpteurs Enutrofs! Une telle beauté ne pouvait pas avoir pour origine des bêtes fourmis... Il y avait sans doute quelque chose en plus... Une question restait dans mon esprit: Est-ce ennemi ou allier? Je sentais un Wakfu s'amenant de deux directions différentes dans le dédale dans lequel nous étions. Au début, j'avais pour but d'éviter de tomber dans un piège ou sur la mère des fourmis, mais après avoir analysé le Wakfu venant de la fourmis que nous avions combattu, donc être retourné sur nos pas, ce qui n'a pas plus à 'adepte de Iop qui s'est empressé de partir dans la première direction venue pour être au plus vite débarrasser de moi, j'ai pus en savoir plus sur les sources. En effet, le Wakfu de cette fourmi semblait être un mélange des deux sources mais un était plus puissant que l'autre... Une fourmi ne devrait pourtant pas avoir autant de wakfu... Alors j'ai pris la direction de l'émanation la plus puissante... En plus, ça m'arrangeait plutôt bien, l'adepte de Iop était partis dans l'autre direction. Je n'avais alors qu'un plan en tête: Survivre... Errant alors dans un labyrinthe à la cherche de points distincts pour le chemin du retours, je me devais d'éviter des nuées de fourmis, ouvrières comme guerrières qui rodaient dans les parages. Après quelques temps, j'ai commencé à prendre le soin de marquer mon passage à coups de pelle dans les parois et à tenter de dévier les mouvements des membres de la fourmilières en dégageant du Wakfu puis en changeant de tunnel... J'avais du faire au moins sept aller retours entre trois galeries différentes.
Plus le temps passé et plus je sentais le Wakfu, un objet d'une puissance immense se trouvé dans les souterrains. J'avais aussi un peu peu de m'être trompé, alors je restais sur mes gardes afin de ne pas me faire tuer pour rien... Je dois avouer que j'avais assez peut pour ma vie et ne souhaitais que rentrer chez moi et faire comme si cela n'était qu'un cauchemar... Pourquoi cela n'arrive t-il qu'à des gens comme moi... C'est à croire que je suis haït d'une divinité... Une chose est sûre, je hais Xelor et il me le rend bien... Après, pour les autres, je ne le sais pas...
Bref, après quelques heures semblant être des décennies, j'arrivais dans une salle peu correcte par rapport aux autres... Elle était différente, au lieu qu'il y ai une paroi rouge à la lieur de ma torche, elle avait, en partie une paroi rouge et une autre bleuâtre De plus, la salle, outre les multiples passages pour aller aux autres, semblait tourner en rond... Pourquoi? Je pris le soin de faire une analyse de Wakfu qui me glaça le sang... Voilà l'anneau de Velgon dans tout sa splendeur... J'admirais l'ouvrage ancien dune puissance immense... Je me demandais alors pourquoi Vlegon le voulait... Je ne me l'étais jamais demander auparavant... Mais cette fois, voyant l'horrible malédiction qui affectait l'anneau et sa terrible puissance, j'avais des doutes sur le karma de Vlegon... Ceci dit, je n'avais pas le choix, il fallait que je luis ramène pour reprendre ma taille normale... Mais comment? En effet, l'anneau était au moins vingt fois plus grand que moi... De plus, il ne passait pas par les galeries, ce que me semblait étrange... Je me demandais alors comment il était arrivé là... C'est vrai, il ne peut pas boire une potion pour se minimiser et se déplacer, lui... Enfin, cela me paraissait idiot mais un doute persistait tout de même... Quand soudain... J'ai pus me rappeler des Wakfu émanés et des galeries! Mais oui, les fourmis s'étaient installées après que l'anneau fut enterré par l'ennemi de Vlegon... Je ne me rappelait même plus de son nom mais il me semblait déjà l'avoir entendu... Enfin bref, pour ne pas utiliser les pouvoirs destructeurs de cet anneau, il ne devait pas être une mauvaise personne... Et Vlegon a sans doute pris une caravane pour le chercher à travers le monde... Bref... Les fourmis étaient si sensibles au Wakfu pour cette raison... Tout me semblait cohérent mais je n'avais pas réfléchis à une chose... Comment miniaturiser l'anneau... En effet, le téléporter était outre mes pouvoir mais le miniaturisé... Ma pelle avait bien subit le même traitement... Alors pourquoi pas lui!

Après avoir tout essayer, même tourné autours de l'anneau pendant dix minutes, exténué par un effort mental trop ample, je décider de creuser une loge pour dormir. J'ai alors remarqué que je n'avais lus qu'une pelle... Une discutions mentale s'engagea avec moi-même... Mais cela n'aboutis à rien sauf au fait qu'il fallait vraiment que je creuse parce que j'étais trop épuisé... Une bonne heure plus tard, je pouvais sommeiller en paix... Cela dura un certain temps... Quand je fut en forme, j'ai regardé dehors... L'adepte de Iop ne semblait pas vouloir venir... J'avais un peu peur pour lui, en effet, bien que m'étant souvent disputer avec lui, je l'aimais bien...

Mais il fallait trouver une solution! Vite! Avant que mon ordinateur n'ai plus de batterie! Enfin! Je pensais aux pouvoirs de l'anneau! Après multiples tests, durant lesquels j'ai lancé un laser contres parois, massacré 5 fourmis sans efforts, faillit me tuer avec un poison deux fois, annihiler deux cadavres et en décomposés un autre, j'ai enfin trouver, par chance, le sort capable de réduire la taille de l'objet... Un anneau d'une telle puissance autours de mon doigt... Je n'en croyais pas mes yeux... Je ne me croyais pas moi-même...

Je pus alors sortir sans encombre du tunnel... A chaque fois qu'une fourmi arrivait, je n'avais pas de mal à l'annihiler... J'étais puissant... Puissant et heureux de l'être! Je riais aux éclats à chaque utilisations! Je me sentais invulnérable.... Une fois dehors, j'étais partis pour rendre l'anneau... Mais.. J'avais un petit problème... Comment vais-je lui rendre s'il est aussi petit que moi?...

J'ai alors réfléchis pendant deux longues heures... Après quoi, j'ai recommencer à chercher les sorts de l'anneau... Tellement de sort.. .Une toutes puissance! Un Wakfu tel était dégagé à chaque fois que j'étais à deux doigts de la mort une dizaines de fois... Les tests et les soins durèrent au moins 10 heures... Quand enfin, je me suis rendu, tout seul ma forme normale! Haha! J'étais en extase, je ne vous raconte même pas! J'allais alors le rendre à Vlegon... Juste sur le pallier de la porte... Je me suis demandé pourquoi...

Bref, je ne vous dit pas que ma méditation fut longue, se serait faux! Je suis vite retourné en ville avec l'anneau pour voir son pouvoir! Je suis allais chez l'épicier, j'ai acheté un gâteau, des pommes de terres et du lailait... Sans oublier la chair de piou rôtie! Puis, en guise de payement, j'ai donné l'anneau! Voilà le pouvoir que j'ai le plus aimé! En plus j'ai rembourser mes dettes chez lui! Je suis donc aller chez mon cousin, comme j'étais parti pour le faire au début sans m'arrêter pour célébrer le somptueux parfum, cette fois et je lu iai offert le gâteau et le lailait avant de commencer à lui raconter mon histoire!

Voilà comment cela s'est terminé! Que vous me croyez ou non, elle s'est vraiment fini comme ça avec le sort de l'anneau le plus puissant (bien qu'utilisable une fois) de rembourser les dettes!

Deux jours plus tard, j'appris que l'épicier fut arrêter pour avoir fait n'importe quoi avec mon jouet et que ce dernier fut détruit dans la forge Osamodas... Je me demande comment il pus faire du mal avec cet anneau... Vraiment, c'est à ce poser des questions sur les talents des gens, je ne comprendrais jamais comment devenir puissant à mon tours... Vous savez comment il a fait, vous?
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