Hodani et l'enigme du gostof d'or

Hodani
et l'énigme du gostof d'or

Le cimetière de Sevamor, lieu maudit hanté par de terrifiantes créatures qu'étaient les gostof. Fantôme ressurgis des méandres du monde dans le seul but de nous condamner au même sort que le leur. Par souffrance ou par rancune, ils étaient capables de devenir des monstres sans pitié. D'autre, rongés par le remord, n'hésiterons pas cependant à vous faire partager leur histoire tragique tout en vous torturant l'esprit.
Ignobles et cruels, voilà ce qu'ils étaient tous, l'un autant que l'autre, liés dans le méfait et dans l'instinct sadique. C'était des exagérations des êtres humains, eux aussi sournois et, la plupart du temps, corrompus par divers moyens.
Pourtant, ces êtres sans scruptules étaient pourchassés par beaucoup d'aventurier. Ce n'était ni par gloire, ni par soucis du monde mais par la simple volonté d'amasser des composants très utile, notamment en alchimie : Les gostoplasmes. Ces raisons étaient pour moi bêtes mais je m'en contentais, du moment qu'on nous débarrasse de ces choses immondes.
Pourtant, le cimetière reposait dans la quiétude ce jour-là. Un jour où les nuages s'aggloméraient et formaient une masse sombre menaçante, promettant un averse aussi peu bienvenue qu'une horde d'arakne. Je fixais une crypte d'un air attentif : J'avais jurée qu'un gostof doré s'y était introduit. Doré... Comme l'or, brillant dans sa splendeur ma corrupteur dans son âme, un or froid comme la mort. Intriguante créature qu'était cette être. Intriguant, mais destructrice et destructrice, tentatrice dans sa beauté. Je n'avais pas pu en voir la forme, n'ayant vu qu'un très court instant une sorte d'ombre lumineuse, rapide, pleine de mystère.
Sadida commença à souffler un de ses plus glaciales vent et je me blottis dans ma cape encore un peu plus. Mes cheveux commencèrent à me harceler, passant sur mon visage, agités par cette rafale qui était apparu aussi soudainement qu'un sram d'un zaap.
Les feuilles mortes virevoltaient, exécutant des pirouettes chaotiques. La poussière du cimetière était balayée et volait en épais nuage grise. A moins que cela ait été une brume qui commençait à ce lever car en un instant, je perdis toutes traces, peinant même à voir mes pieds. La brume ne me faisait pas peur en elle-même mais ce qui m'effrayait vraiment, c'était de se retrouver dans un cimetière lors de cette brume. Je pus sentir dans la brume, malgré que je sois frissonnante, des mouvements qui faisaient des va-et-vients accompagnés de murmures : Des murmures éthérés, des murmures mortels et froid comme l'atmosphère se fendant au bruit du vent. Je ne pouvais pas rester ici, l'endroit devenait malsain et semblait vouloir se débarrasser de moi. Mais où aller? Ma vision ne me permettait pas de voir correctement et de me mouvoir sans percuter ne serait-ce qu'une pierre tombale sans me fracturer quelque chose.
Il restait l'option de la crypte où j'avais vu rentré le gostof. Cette idée ne me paraissait pas brillante mais je devais me contenter de ça pour l'instant, n'ayant pas énormément d'autres choix. Je me levai, m'avançai d'un pas indécis vers l'entrée de la crypte. La pierre salle et fracturé était noire et sans chaleur quelconque. Du sang recouvrait ces mêmes roches, un sang qui avait éclaboussé aléatoirement sur la surface sinueuse de la crypte. Des racines en tout genre avait commencé à reprendre l'endroit ainsi qu'une grande quantité de mousse. Cela représenterait pour moi la victoire de la nature sur les structures humaines mais à cet instant précis, j'avais d'autres préoccupations d'autant plus que les chuchotements semblait se rapprocher de moi dangereusement. La porte massive était constitué de bois qui, après tant de saisons, avait commençée à pourrir. La poignée semblait brisée mais il suffit de pousser la porte pour que cette dernière s'entre-ouvre. Elle était moins lourde qu'il n'y paraissait.

Je refermai la porte derrière moi et atterris dans un long couloir sombre. J'allumai une torche, enchantai ma poupée puis elle la récupéra et monta sur mon épaule gauche. Il ne me restait plus de torche et cela m'inquiêtais. Même si j'étais sadida, ces choses m'ont bien étés utiles jusque là.
L'ambiance qui régnait dans ces lieux me mettait mal à l'aise. Une légère brise parcourait l'endroit, filant vers les ténèbres et brisant le silence austère de l'endroit. Un peu de crâne parsemait le sol dont les dalles, par manque d'entretien, étaient pour la plupart brisées et sortait même parfois du sol. Le couloir descendait vers l'obscurité avec une inclinaison assez vertigineuse : Les crânes, eux, restaient sur la pente sans se soucier de la gravité comme s'il étaiebt attirés par quelque chose de plus fort. J'angoissais à la simple idée de m'aventurer sur cette pente. Après tout, il me fallait juste rester à l'entrée en attendant que la météorologie se calme un peu.
Mais le sort semblait en vouloir autrement. La porte se mit à grincer, s'ouvrant peu à peu.
Saisis par la peur je courrai déjà vers la pente. Dès que je courais dessus, j'avais l'impression que le sol s'était incliné pour moi afin qu'il devienne droit. La pente n'en était plus une et, quand j'osais regarder derrière moi, la petit parcelle de sol sur la laquelle je me trouvais avant semblait en être devenue une. Mes poursuivants, s'ils me poursuivaient, ne semblait pas être encore rentrés. Ma poupée tomba à la renverse sur le sol. Je me retournais, allais la récupérée quand soudain, je vis quelque chose arriver à grande vitesse dans les airs, je dégainai immédiatement et me mis en position.
La chose tomba sur moi et à peine ais-je eus le temps de l'identifier qu'elle tenta de me frapper avec une large lame. Je m'abaisse et en profite pour lui donner un coup de pied sur ce qu'il me semblait être sa tête, m'appuyant sur une jambe et une main. Je vis clairement un iop qui tombait sur le sol. Que me voulait-il? Je n'eus pas le temps de méditer sur la question car j'esquivai de justesse une hache qui était arrivée de derrière moi. Jusque là, j'avais de la chance. Ma poupée sauta sur l'épaule de pandawa attaquant et poussa un cri déchirant. Y étant habitué, je ne subis pas l'intégralité des effets mais le pandawa eut un brusque mouvement et tomba lui aussi sur le sol. Le iop semblait s'être relevé mais le cri l'avait aussi affecté. Je le bloquais au sol. Il semblait matériel comme les êtres vivants.
"-Eh bien... En voilà un moyen de saluer."
Juste quand j'avais fini ma phrase, le iop fit en grand mouvement qui me projeta contre le mur. Il ne lui avait fallu que peu pour sortir de mon emprise. Je tombai sur le dos, contre un crâne qui se brisa. Mais j'avais moi aussi assez mal à cause de lui.
"-Je t'avais dit, Jadrow, c'est pas un sram ni un gostof.." dis le pandawa qui se relevait, ayant mis ma poupée hors d'état de combat.
"-Pouvais pas savoir, ça courait partout et ça nous fuyait."
Si par "ça", il entendait parler de moi, il me semblait avoir de bien étrange façon de parler aux gens."
"-Et puis, maintenant, on sait que s'en ai pas un..."
Le pandawa s'approcha de moi et me tendis la main. Je n'avais pas envie de lui donner cette joie de m'aider à me relever vu l'état dans lequel il avait mis ma poupée. Je me relevai seule, bien que cela aurait été plus facile de lui prendre la main.
"-Excusez nous, nous croyons que vous étiez ennemi."
"-Et bien arrêtez de croire, alors, vous avez failli me tuer."
"-Vous vous êtes quand même pas mal défendue."

Le iop rangea son épée dans un fourreau. Il était plutôt grand, portait un costume rouge constituait d'épaulette arrondis en cuir teint sur lesquelles transparaissaient des crucifix tailladés grossièrement dans le cuir, un habit rouge de lin sur lequel figurait une croix jaune cousue avec soin. Ses jambières semblaient être de plaques et étaient également teinte. Sa tête était ornée d'un splendide diadème d'un métal ressemblant à l'or avec, au centre de celui-ci, une sorte de rubis. Cette coiffe lui donnait une allure majestueux, malgré le reste de l'équipement qui semblait avoir été improvisé. Un bouclier était solidement accroché à son dos et une épée se tenait rangé dans son fourreau.
Son compagnon semblait bien plus négligé, ne s'attardant pas sur l'esthétique de ses habits : Il portait un harnois de cuir bleu sur lequel avait été rajouté rapidement trois phrases assez courtes que je ne pouvais pas lire.
Cela lui donnait une allure ringard de quelqu'un qui se croyait fort. Il portait aussi une chapeau de paille ridicule et très abimé.
Ses jambes étaient couvertes d'une sorte de pantalon rouge rapiécé, déchiré en partie et très sali.
Il portait des bottes lui remontant jusqu'aux genou, d'un jaune fluo agressant les yeux même s'il avait été recouvert par la crasse et la salissure.
Les deux avaient différents moyens de faire ressentir leur expérience. Le iop dans la classe et le pandawa dans la crasse. Au premier regard, nous pourrions nous dire que le iop avait choisit la meilleure solution mais après quelques secondes de réflexion, je pensais que c'était une perte de temps que de faire attention à ce genre de détails futiles.
Les deux me regardaient comme si j'avais à dire quelque chose de capital avant qu'ils continuent.
"-Euh... Je m'appelle Hodani..."
"-Jadrow Gladark, pour vous servir"
"-Jill Dunnos Mowinn Lan, dit le pendu. Mais vous pouvez m'appeler Jill."
"-Et.. Que faites vous dans la région?"
"-Nous sommes à la recherche de la coupe de damnation!"
"-La quoi?"
"-La coupe de damnation! On veut la détruire."
"-C'est quoi au juste?"
"-Une coupe qui, il parait aurait le pouvoir de détruire la ville de Sevamor! Un objet très dangereux qui peut aussi maudire quiconque boit dedans, l'affaiblissant en l'espace d'un mois de la moitié de ses capacités!"
"-Du coups, on y va!"
"-Vous faites tout le trajet pour la détruire?"
"-En faites, on est deux groupes à vouloir l'atteindre. Faut qu'on la détruise avant qu'il arrive à la prendre!"
"-Sinon, ils détruiront Sevamor?"
"-Non, ils veulent aussi la détruire mais ils détruiront notre réputation..."
"-Et cette coupe se trouve dans ce sanctuaire?"
"-Aucunes idées, nous étions partis pour fouiller le cimetière dans son intégralité quand le sram de l'équipe adverse a eut la bonne idée de faire apparaître cette fichue brume. On vous a entendu et on vous a pris en filature."
"-Voyez vous, je me suis fais aussi prendre dans la brume donc je me suis réfugiée ici. Dire que je vous avais pris pour des gostofs."
"-Tu serais où l'on pourrait trouver cette coupe, alors?"
"-Je n'en ai aucune idée mais un gostof doré est entré dans cette crypte tout à l'heure."
Les deux se regardèrent pendant un instant, incrédules. Ils se firent un hochement de tête puis sourirent.
"-Amène nous jusqu'à lui."
Je ne pus empêcher mes yeux de se dilater, surprise. Je n'avais aucunes idées d'où il se trouvait ni de s'il existait vraiment.
"-Je ne sais pas où il est... Je ne l'ai pas suivis."
D'un coup, les deux perdirent leur sourire et leur motivation et s'envoyèrent un regard de déception. Je me sentais complètement inutile et bête. J'abaissai les yeux, moi-même déçu par le fait que je ne pouvais pas les renseigner. Si seulement, j'avais été un peu plus attentif. Les deux me regardèrent en même temps, semblant vouloir me ridiculiser.
"-Bah... On est que deux, si tu voulais venir, tu serais la bienvenue."
Je relevai la tête si brusquement que je me finis par me cogner la tête sur le mur. La proposition avait fait réveiller en moi une mordante curiosité. Je sentais mon coeur battre plus vite. J'étais comme prise au dépourvue.
"-Oui." dis-je d'une toute petite voix aiguë, ayant eut peine à sortir de ma bouche.
"-Parfait, en avant alors, on a déjà perdu pas mal de temps ici."
Nous nous avancions donc dans l'étroit couloir délabré pour finir devant une fine grille empêchant l'accès à la crypte elle-même, où les tombeaux étaient entreposés. Quelque chose semblait bouger, quelque chose d'inquiétant, lent et invisible, comme si l'endroit même était en mouvement, quelque chose de contre-nature. La grille était fermé mais semblait plus que rouillé. Il ne suffit que d'un coup de pied du iop pour qu'elle s'écroule dans un horrible fracas à en réveiller les morts. Nous entrâmes rapidement pour balisé la zone, trottinnant chacun de notre côté pour fouiller les lieux, vérifiant les endroits. Apparemment, le pandawa cherchait aussi les divers lieux où se cacher où cas où il faudrait opter pour une éventuelle fuite. Le iop tentait d'évaluer la résistance de la roche en sautant dessus... Enfin, c'est ce que j'en ai pensé.
Sur le sol froid et poussiéreux, mon oeil fut attiré par une petite lueur. Je soufflai et la poussière fut écartée sur les bords, trop concentrée pour pouvoir s'envoler. Je voyais maintenant de quoi il s'agissait. C'était un petit couteau d'argent, fin mais résistant. L'ouvrage était bien travaillé, il portait des gravures dans notre langue mais je ne pouvais pas les lire.
"-J'ai trouvé quelque chose."
Les autres ne prirent pas longtemps à accourir vers moi, intrigués. Je fis passer le couteau. Le iop, qui l'eut le premier, le secoua, tenta de le tordre, en vain. Le pandawa, lui, l'examina de près et lut :
"Dans les ténébres faits, ce très mince couteau,
A la lumière donné, donnera vite au sot,
Un sort donnant pitié, forgeant alors un sceau,
Qui dans l'obscurité, le fera mourir tôt."
"-Mais c'est quoi ce truc?"
"-A en juger les phrases, à la lumière, cette lame condamne l'être à ne plus devoir s'exposer à l'obscurité."
"-Ou peut-être que c'est métaphorique...."
Je réfléchisais : Cette lame devait être "à la lumière donné", peut-être cela voulait-il signifier qu'il faut que son porteur ait de bonnes intentions. Alors l'obscurité serait le mal... Mais pourquoi les "ténèbres" auraient-ils créés cette dague, alors?
"-Bon... En tout cas, ça nous-même à rien... Continuons, plutôt que nous attarder ici."
Il me rendit le couteau, que j'ajoutai à mes aiguilles. Si nous ne pouvions pas savoir en réfléchissant ce que fait le couteau, nous n'avons qu'à l'utiliser pour voir de quoi il s'agit.
Nous étions sur le point de changer de salle, s'attardant sur la porte pour éviter les pièges que, soudain, une sorte de créature ectoplasmique traversa la salle. C'était un gostof doré, brillant, d'une beauté incroyable. Ahuris, nous regardions tous l'être sans tenter quoique ce soit. Le gostof transperça un mur de la salle. Il ne semblait pas nous avoir remarqué. Après que le moment de surprise soit passé, nous nous avancions tous lentement vers le mur où il avait disparu, comme attirés par le mystère. Je fus la première à pouvoir le toucher, ou plutôt le transpercer. Nous avions une sorte d'illusion en face de nous. Sur 1.50 mètres sur 1 eviron, le mur était immatériel. Comment avions nous pus louper ça? Bien que cette illusion ait été en hauteur, il suffisait de toucher pour la déceler. Nous pûmes aisément nous y faufiler en nous abaissant un peu. Le iop alluma une torche à la vue de la noirceur de l'endroit ce qui me fit aussitôt penser à ma poupée.
"-Ma poupée, attendez moi, ici..."
Le pandawa me tendit ma poupée. Apparemment, il l'avait conservé. Un peu surprise par ce geste je fis un mouvement de tête en remerciement et me remis à marcher dans ce qui apparaissait être un tunnel de roche grise. L'air y était stagnante, rien ne bougeait sauf notre groupe que tentait de marcher malgré les gravas recouvrant le sol, trébuchant presque à chaque pas.
[Hrp : Trai-Shor style : on]
"-Qui donc dans ce tunnel, nous a t-il fait venir?
Nous marchons sans pensées, tout droit vers l'inconnu.
Mes pieds sur ce sol cruel, ne font que ce meurtrir.
Les gostofs éthérés, nous donne une tâche ardu.

Qui donc, par Sadida, nous oblige à forcer
nos esprits au tracas, si ce n'est pour tuer
de si pauvres fantômes, en brisant de nos armes.
Suivons donc cet axiome, avant tourments et larmes.

Tant que nous le pouvons, évitons notre trépas.
Car si donc nous tombons, notre mort servira
Qu'à ressusciter un tas, je n'ai pas d'autre mots,
De gostof maladroit, rongé par plusieurs maux.

Même si de mes mots, il n'y a pas longtemps
Je vous avais rejoint, je reculerais par par peur.
Mon coeur pris là d'assaut, pousse un cri affolant."

"-Allons donc, Hodani, nous ne t'avions forcés,
A suivre jusqu'ici, nos pas forts décidés
Jusqu'à tâche accompli, à dans ces lieux passer.
Si tu le veux tant, fuis, si tu es effrayée

L'endroit où nous allons, n'est pas fait pour les lâches
Même si accablés, par les ennemis craints,
Même si nous mourons, il faut que tu le saches
Nous aurions là épée, là toujours hache en main."

"-Vous êtes donc prêts, sirs, à affronter la mort
Peut-être même la pire, s'ils mutilent vos corps?
Un sentiment très noble, mais trop peu réfléchit.
Devant monstres ignobles, n'êtes vous indécis?

Soit, je vais donc vous suivre, même si effort me coûte
devant monstre tel guivre, de n'être mise en déroute.
Ma lâcheté terrible, vous n'avez que trop vu
Je ne veux être cible, preuve d'ardeur perdue."

"-Si cela est ton choix, tu peux nous accompagner
Si l'on mène combat, et si ton courage perdait
Face aux méandres de plainte, laisse nous tout finir.
Car si tu ressens crainte, tu ne pourras que nuire."

[Hrp : Trai-Shor mode : off]

"-Mais qu'est ce qui vous prend vous deux? Toutes vos phrases riment..."
"-Juste une petite perte de moral mais c'est passé. Hein, Hodani?"
"-Oui..."
La crainte m'avait submergé et l'endroit n'arrangeait rien à ce sentiment. J'avais peur, je ne pouvais pas le cacher, surtout pas à moi-même. Les larmes me montaient aux yeux. Pourquoi ce sentiment si vil et fourbe s'était-il emparé de moi si rapidement, sans crier garde? Même si ce que nous faisons jusque là était réussit, je ne pouvais m'empêcher de le ressentir dans tout mon être, oppressant et destructeur. J'eus un doute, je saisis le couteau, m'arrêtant un moment. J'examinai le couteau pendant une minute.
"-Eh! Hodani! Tu fais quoi?"
"-Euh.. Rien..."
Je continuai à avancer jusqu'à déboucher dans une immense salle dont les murs étaient couverts de miroir.
Nous pouvions voir trois gostof au centre de la salle qui se trouvait environ à une cinquantaine de mètres de nous.

Ils nous avaient vus, nous les avions vus. Nous dégainions et quand ils virent que nous le faisions, ils firent de même. J'enchantai ma poupée malgré ses blessures et me mis en position fixant du regard le gostof crâ qui se trouvait un peu de retrait par rapport aux autres.
"-Un chacun, le iop est pour moi!"
"-L'eniripsa!"
"-Le crâ."
Nous étions d'accord pour les attaques et nous chargeâmes sur les ennemis. Le iop fit un bond spectaculaire en criant :"Par Iop!" pour retomber sur son ennemi qui para de sa lame. Le pandawa courait à une vitesse hallucinante, me dépassant de loin pour fondre sur son ennemi ectoplasmique qui tentais de loin de lancer des projectiles magiques. Moi, je courais derrière, et évitai les flèches du crâ aussi bien que je le pouvais. J'effectuais quelquefois des roulades et me pris en tout une flèche avant d'atteindre le corps-à-corps.
Je tentais de lui enfoncer mes aiguilles mais la bête était trop rapide. Ses mouvements étaient chaotiques et imprévisible, je n'arrivais pas à l'avoir. Il fit un salto arrière et me décocha une flèche une fois retombé, j'évitai pour tenter de lui sauter à la gorge. Il fit un saut au-dessus de moi et m'envoie une flèche depuis l'air que j'évite en roulant au sol, droit devant moi. Je me retourne vivement parvint à esquiver une autre flèche et retente l'assaut, courant vers le gostof. Celui-ci se met vivement sur le côté évitant mon attaque et tente de m'asséner un coup de flèche dans le dos, une flèche en main, dirigeait comme un poignard. Ma poupée encaisse le coup à ma place, s'interposant et pousse une longue râle insoutenable.
Je m'écarte et le crâ encoche puis décoche la flèche sur laquelle était empalée ma poupée. La flèche trop lourde alla se loger sur le sol, 5 mètres plus loin. Pendant sa manoeuvre, je vis l'occasion d'attaquer. Malheureusement, un iop éjecté passa devant moi et tomba au sol dix mètres plus loin, m'empêchant de passer et me surpris. C'était le iop de notre groupe. Il se releva quelques secondes plus tard. Ces quelques secondes avait suffit pour que je sois en proie à deux ennemis gostofs. J'évitai les coups d'épée et m'assurant qu'une flèche n'arrive pas sur moi. J'étais en position defensive et ne tentai rien tant que le iop n'était pas revenue. Quand il arriva, je ne fis pas attention à une flèche particulièrement violente qui m'arriva dans le ventre et me fit voler sur une dizaine de mètres. J'avais le souffle coupé mais du esquiver une autre flèche qui sifflait vers moi en me roulant au sol, compressant la flèche du ventre et me faisant subir des douleurs atroces. Ma poupée cria à nouveau sur le groupe. Je me relevai et fonçai à nouveau, affaiblie mais toujours dans la partie. Le iop galérais contre les deux adversaires, ne présentant de lui aux ennemis que son bouclier. Je donnai un coup par derrière au gostof iop, tandis qu'il était au prise avec notre compagnon. Celui-ci voulut se retourner mais j'avais déjà eu le temps de le trouer à plusieurs endroits. Il tomba au sol et je bénissais Sadida d'avoir fait que l'ennemi soit si peu résistant, eut-il été un iop. Le rapport de force s'inversait : Nous étions deux contre un archer et bientôt, le pandawa nous vint, ayant fini de son eniripsa. Il était brûlé à plusieurs endroits mais de nous tous, c'était le moins mal en point. Nous n'eûmes que peu de difficultés à massacrer notre dernière ennemi, bien qu'il eut été assez rapide.
"-Quand même! Ils ne sont pas faibles, ces gostofs!"
"-Ouais, il m'a ouvert tout là!"
Le iop montra une large plaie à laquelle je n'avais pas vraiment fait attention.
"-Il nous aurait fallu un eniripsa. Mais j'ai ce qu'il faut!"
Le pandawa sortit trois potions. Il nous en donna une à chacun d'entre nous et nous la bûmes tous d'un trait. Puis il sortit une flasque et pris une rasade.
"-Ca fait du bien de temps en temps!"
Après dix à quinze minutes de pause, nous continuâmes. Nous prîmes le temps d'extraire le gostoplasme et partîmes fouiller la salle. Il n'y eut rien de notable sauf une étrange propreté des lieux qu'à soulignée le pandawa.
La prochaine porte était ouverte : On pouvait y voir une sorte de long couloir dans lequel nous nous aventurâmes sans hésitations. Ma peur ne m'avait pas lâchée, elle, toujours poignante et perfide. Pendant le combat, je m'en étais libéré mais elle revenait plus fort. Ceci en tête, le couloir m'apparut long, trop long. Quand nous atteignîmes enfin les portes, tout mon esprit me contrindiquait de continuer mais mes jambes marchaient d'elle-même, suivant aveuglement les autres, pour ne pas leur montrer ma lâcheté encore une fois. C'était là l'esprit contre le courage même si une certaine curiosité me poussait aussi à continuer. J'étais déchirée entre plusieurs sentiments mais cette affrontement intérieur dûs se finir quand nous tombâmes face à face avec deux gostofs. Le combat s'engagea immédiatement par une sorte de grandes larmes tombant sur nous. S'écartant, nous encerclions les ennemis tandis que la larme s'écrasait éclaboussant tout le monde. La salle était minuscule et ne laissait pas beaucoup de place pour combattre. Je dégainai et commençai le combat. Il s'agissait d'un gostof sadida et d'un sacrieur. J'avais déjà mon ennemi ciblé : Le sadida.

La tâche ne fut pas facile. Je fonçais sur lui afin de l'attaquer mais m'attrapa le poigné et me tordit avant de m'envoyer contre le mur. Les deux autres étés contre le sacrieur qui semblait lui-aussi assez coriace. Je pouvais revenir au corps-à-corps facilement mais mon poigné était douloureux. En si peu de temps de combat, il avait déjà réussit à me meurtrir. Je ne m'avouai pas vaincu, la rage prennant place. Mon adrénaline montait, mon envie de tuer mon adversaire aussi. Je fonçai sur lui tentai un même coup mais au moment où s'apprêtait à prendre mon poigné je fis un tour sur moi-même pour l'attaquer de mon autre main. Apparemment surpris, il encaissa le coup et me donna un coup de poing qui me flanqua aussitôt sur le sol. Je me relevai avec plus de difficultés et avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, la blessure que j'avais faite au couteau sur le sadida s'illumina, et s'agrandit à vue d'oeil, se transformant en une longue et profonde entaille. Hallucinée, je restai bouche bée pendant quelques secondes avant de devoir être ramené à la réalité d'urgence pour éviter un assaut du sadida. Je fis un bond en arrière puis tentai de l'attaquer au ventre, tandis qu'il brandissait encore son poing. Il ne lui fallut peu pour esquiver mon coup mais plus pour éviter une roche qui avait dégringolé, dû au combat qui se passait à côté. Pendant qu'il fit une manoeuvre pour se décaler, évitant la roche, je lui enfonçai un autre coup puis fit un bond en arrière. Souriante malgré la douleur de mon poigné, je me sentais confiante. Malheuresement, une autre pierre tomba du plafond et m'assomma.
Lorsque je me suis réveillée, mes deux compagnons m'entouraient. J'ouvrai les yeux et pus voir que le iop avait perdu deux doigts et était fortement abimé. Voyant mon regard, il cacha sa main dans sa manche.
"-Alors? Ca va?"
"-Ca pourrait aller mieux."
Je touchais ma tête, elle était couverte de bandage.
"-Une pierre t'est tombé dessus et à fendu ton crâne, mieux vaut qu'on se repose un peu. J'ai appliqué une baume mais les effets sont plutôt lents..."
Nous nous reposions pendant assez longtemps avant de reprendre la route. Je titubais un peu et avais un peu de mal à refléchir mais la douleur semblait s'être calmé. J'avais de la chance que mes compagnons ait été assez équipés. Nous entrâmes dans une grande salle dans laquelle se trouvait le gostof doré. Il semblait, maintenant, qu'on pouvait le voir précisément, une sorte de golem d'or entouré d'une enveloppe ectoplasmique. Il semblait nous fixait. Son regard ne laissait transparêtre aucune emotion comme un masque plaqué contre un visage pour l'empêcher de traduire les émotions. Le gostof, assis sur une chaise en bois se leva. S'il avait été en or, il aurait fait au moins un peu de bruit mais cela n'était pas le cas. Il semblait d'une légèreté sans précèdent, comme s'il lévitait. Il était magnifique, malgré son manque d'humanité. Il était plus petit que ce que je m'en rappelais, par contre, je l'avais vu passer lorsque nous étions dans la crypte, il était différent. Derrière lui, il y avait une petite armoire. Sinon, la salle était vide à part les nombreux gravas sur le sol.
Nous sortîmes nos armes, près à combattre.
"-Vous êtes prêts? Il est seul, ça devrait passer!"
Le combat fut lancé. L'or du gostof se transforma en une sorte de brume et commença à écarter son enveloppe. En l'espace de quelques secondes, il avait déjà grandi de deux mètres et était devenue un colosse.
Je me préparai à le recevoir avec mes aiguilles tandis que le iop commença à foncer et pandawa entreprit de tourner autour de la créature dans l'espoir de déceler son point faible.
Le gostof envoya un grand pique d'or sur moi que je pus éviter assez facilement. Il degagea le iop dans grand geste circulaire, celui-ci étant expulsé droit sur le mur. Le mouvement balaya aussi le pandawa qui, ayant plus de chance, réussit à amortir sa chute avec ses jambes. La bête souffla et de la brume qui commença à s'étendre dans toute la salle.
"-Ne respirez pas ça!"
Je me protégeais avec ma cape d'une main et tentai un assaut. Il tenta encore une attaque circulaire mais loupa vraiment son coup, le plaçant trop haut : Il suffisait que je baisse pour ne pas me le prendre. Je pus donc l'avoir avec mes aiguilles et le lacérer avec le couteau puis je reculai. Le iop s'était relevé.
J'avais une cape pour filtrer l'air mais le iop n'avait rien, et se retenait juste comme il pouvait, respirant le moins possible.
Le iop fit un saut incroyable et taillada la tête de la créature. Celle-ci, se retourna vers le iop, ce qui me permit de lui redonner un coup. Le pandawa en profita aussi pour lui envoyer un sort. Sa bouche s'embrasa et vomit un jet de flamme sur le gostof. Celui-ci commença à tourner dangereusement à une vitesse affolante. Nous reculions tous vers le mur. Le gostof était devenu une toupies géant et commença à se déplacer vers le pandawa qui commença à courir dans la salle. La bonne nouvelle, c'est que le gostof aspirait sa brume sur son passage, ce qui nous permit de respirer de l'air.

Au bout de quelques minutes, il s'arrêta et le pandawa renvoya un jet de flamme. Nous étions trop loin pour l'attaquer directement et nous courûmes vers le gostof qui commencer à se dissiper puis disparut. Pendant trente minutes, nous nous attendions à ce qu'il réapparaisse quelque part dans la salle mais apparement, il était ou mort ou il avait pris la fuite.
Nous nous dirigions vers l'armoire mais ne pûmes mettre la main sur la coupe... Il y avait seulement 54 kamas que nous pûmes nous partager.
Déçus, nous eûmes cependant la possibilité d'extraire un gostoplasme doré, luisant.
"-A votre avis, ça a de la valeur?"
"-Je ne sais même pas s'il y a des applications qui en nécessitent..."
Nous sortions, parlant vaguement d'un sujet quelconque, prononçant quelques mots chacun notre tour. Nous étions écroulés : Tant d'effort pour rien. La mince bourse de kama n'était qu'une trop légère compensation. Même moi, je ressentais la lassitude et le malheur de ne pas avoir trouvé un objet qui, personnellement, n'avait aucune valeur à mes yeux, n'étant, normalement, pas concerné par son sort.
Une fois en dehors de la crypte, nous pûmes apercevoir deux personnes en train de discuter.
"-Tu les as fais rentrer là? Haha! Bien joué!" dit un eniripsa.
"-En faites, il poursuivait une sadida qu'ils prenaient pour un gostof!" rétorqua le sram.
"-Hum... Et ça vous a amusé?"

Ils se retournèrent se sursaut.
"-Ah! C'est vous! Oh! Regarde ça! Ils ont même récupérés la sadida! C'est tellement mignon!"
Le sram et l'eniripsa rirent de bon coeur.
"-Je ne vois pas ce qui est mignon dans demander de l'aide à un adepte de Sadida..."
"-Ca se voit que tu ne piges pas grand-chose à la vie. "
Insultez par un sram. Il me disait que je ne comprenais rien à la vie... Eux, srams qui détruisent les systèmes et les pervertissent, entraînent les autres dans cette corruption, ils osaient me faire la moral?
J'étais énervée par le fait que l'on n'ait rien trouvé et il mettait de l'huile sur le feu. J'ai sorti mes aiguilles.
"-Oh! La petite veut faire ses preuves?"
"-Petite? Je dois être plus vieille que ton ami, isolent..."
"-Rectification : Oh! La vieille veut faire ses preuves?"
La blague était apparemment désopilante car son ami était tordu de rire. Je ne partageais pas sa joie et me mis en position de combat.
"-Pour ma part, je les ai déjà faites, et toi?"
"-Tu me mets au défi, sadida?"
"-Réfléchit un peu... A moins que ce soit un effort trop intense pour toi?"
Il sembla s'immobilisé, trop pour moi : Il ne bougeait pas d'un pouce, comme une statue et ne semblait même plus respirer. J'eus un doute puis me vint à l'esprit que ce pouvait être une illusion.

Un poignard fendit l'air dans mon dos. Si je ne l'avais pas entendu siffler, j'aurais été touché et vu l'espèce de pâte sur son poignard qu'il utilisait comme une épée, je me doutais qu'il possédait du poison. Je parai son coup difficilement avec mes aiguilles, emprisonnant sa lame et en profita pour tenter de lui donner un coup de pied qu'il évita avec une aisance incroyable, comme s'il avait lévité en retraite faisant fi de mes aiguilles entourant sa dague.
Je reculai d'un pas en arrière puis tentai un assaut. Il se plaça sur le côté lors de mon attaque et failli me meurtrir le flan : Ma poupée s'était intercalé pour essuyer le coup à ma place, le poignard ne s'enfonça, par chance, pas trop. Je profitai de cette occasion pour l'attaquer en exécutant une attaque circulaire. Encore une fois, il esquiva. Je fis deux bond en arrière puis me bouchai les oreilles. Il ne comprit pas tout de suite mon attitude se rendit bien compte que ma poupée n'était pas morte quand celle-ci poussa un cri strident qui le fit tituber. Résistant, il reprenait déjà ses esprits : Une attaque avec mes aiguilles prendrais trop de temps et je lui donnai donc un coup de pied qui atteint sa tête et le fit tomber à la renverse. Je plaçai mon pied sur son poigné qui tenait le poignard et pris un grand plaisir à le broyer. Il gemit, et tenta d'agripper ma jambe ,par deséspoir de cause, avec sa main valide. Je lui redonnai un coup de pied mais cette fois-ci dans la tête pour tenter de l'assomer. Apperemment, je lui avais défoncé la mâchoire. Je lui en redonnai un autre pour m'avoir insulter, puis un troisième pour m'avoir défier.

Il souffrait. Par pitié ou par colère, je l'achevai en lui planta mes aIguilles dans le cou. Je touchai par sans faire exprés la veine et le sang gicla à flot. C'était peut-être mieux ainsi. Ce sram avait payé pour les autres de son espèce. Mon calme me reprenait peu à peu et je ne lui assénai qu'un seul second coups dans les yeux avant de me retourner vers le iop et le pandawa.
Ils me regardaient bouche bée comme si j'avais fait quelque chose de mal. L'eniripsa, lui, semblait totalement terrifié et recula de trois pas.
"-Vous... Vous voulez la cou.. coupe? La voilà!"
Il lança une coupe en l'air avant de détaler.
"-Hodani? Tu te rends compte de ce que tu as fais?"
"-Il m'avait cherché..."
"-C'était une raison pour le tuer puis le mutiler?"
"-Si je ne l'avais pas tué, c'est lui qui l'aurait fait..."
"-Je ne pense pas ..."
"-Et le poison, alors?"
"-C'est un poison qui sert à torturer mais pas à tuer..."
"-C'est suffisant pour moi pour le tuer."
La discussion me semblait close et je fouillai le sram. J'obtenue 10 kamas, trois fiole de poison, une corde, de très minces ficelles et une bourse en état plus convenable que la mienne. Je ne comptai pas partager le butin avec eux : Ils n'avaient pas bougés du combat.
Le iop prit la coupe puis nous repartîmes en silence.
Pendant le chemin, je bifurquai, lançant un adieu au deux autres qui ne me repondirent même pas.

Je lirai tes deux textes quand j'aurai du courage... Idem pour Trai-Shor...

C'est vrai qu'un texte géant comme ça, beaucoup d'écrit peut nous décourager de lecture... J'ai lu jusqu'aux deux premières lignes, avant de survoler le texte...

Eh beh,je sais pas comment vous faites pour écrire autant.Chapeau.Dès qu'on aura fini de redéfinir la Lignée je promets de m'abattre toutes vos histoires d'un coup

(Bien sûr, je ne suis pas un écrivain, il est logique que je n'ai pas vraiment le style d'écriture correspondant à la demande et que j'aime les pavés (Bah oui : Pavé = Inertie (Repris sur PV = nRT pour ceux qu'y ne voient pas le rapport...)). Le pire, c'est que je n'arrive pas à faire durer les combats et à les rendre intéressants et c'est vraiment un gros défaut que j'aimerais travailler... Et pour cela, il faudrait que vous lisiez le texte et me disiez qu'est-ce qu'y ne vous à pas plu ^^ (Avec précision, bien sûr : Si vous dites tout, je ne suis pas arrangé...). Voilà, et en ce qui concerne la longueur, je ne sais pas si vous lisez des livres mais je ne remplis que 11 feuilles open office grandeur 12... Donc, c'est pas non plus trop grand (Même si apparemment, je me trompe ^^). Pour finir, je trouve justement qu'avec ce que j'écris, ça ne fait pas grand chose... Je devrais peut-être poster bout par bout? Comme ça je fonde une histoire en plusieurs fois et ça vous simplifie la lecture, qu'en pensez vous?)

[Hrp] Faire par bout nous permettrait de faire des pauses et de mieux s'y retrouver dans ton texte, ce sera bien ! Je le lirai à un moment ou l'autre, mais je ne pourrais pas beaucoup te conseiller, il n'y a que toi qui tape 11 pages d'open office avec la taille 12 (quoi que Trai n'en doit pas être loin non plus). [/hrp]

(Donc je vais faire comme ça si vous préférez ^^. Je ne sais pas quand j'écrirais mon prochain texte mais je verrais bien ce que j'écrirais. J'ai déjà commencé (hélas pas finis) une histoire segmenté sur un forum et le risques, c'est justement qu'elle peut durer très, très, très, très longtemps, plus que les autres. Ce qui fait qu'il ne faut pas louper un "épisode" ^^. Bon, sinon, les couleurs de dialogue sont illisibles, non?)

[Hrp] Non, rien à dire là dessus, c'est plutôt une bonne idée même, je trouve. [/hrp]